Oui, c’est vrai, on a un petit faible pour les ressoritssants de l’ESAD de Strasbourg (aujourd’hui HEAR). Allez savoir pourquoi, mais il semble qu’une certaine magie se dégage de cette école qui donna et donne encore des illustrateurs de type all stars. C’est le cas de Caroline Gamon, dont le dessin et les peintures peuvent être rapprochés de ceux de sa collègue Fanny Blanc, tout en fausse simplicité et vraie vistuosité. Collaboratrice des collectifs Nyctalope et Central Vapeur, l’illustratrice est aujourd’hui dragué par les fins connaisseurs que sont XXI, New York Times, Muze ou encore Le Monde. Elle participe ces jours-ci aux expositions Fit To Print (Musée Tomi Hungerer, Strasbourg) et Bastion ! (Vernissage samedi à Dudelange, Luxembourg).
Editorial