C’est l’histoire d’un type féru d’architecture et de végétaux qui avait en outre la faculté de dessiner assez incroyablement bien. Thibaud Herem fait en effet parti de ces surdoués comme l’humanité en pond parfois. Et boum, c’est tombé sur lui. Le Français, passé par le Japon et aujourd’hui installé à Londres, se joue des bâtiments du monde avec simplement un stylo, de l’encre de Chine et un style reconnaissable entre mille.
Editorial