Le Bordelais de Freak City a le vent dans les cheveux et l’Amérique dans le sang. Pourtant, celui-là, Girondin comme Valbuena, aurait dû suivre la route qui était la sienne et se cantonner aux cannelés. Mais on ne se refait pas : les yeux rivés vers l’Atlantique et les mains agiles, il nous abreuve de son trait trash situé entre Charles Burns, le tatouage et un générique de Sauvé par le Gong. Cette bizarrerie est appréciée fort chez nous, mais aussi chez Vice, GQ Magazine, Red Bull, Microsoft, XXI, Schnock, etc.
Editorial