[Employé modèle] Benjamin Courtault

Pour cette semaine, le choix de notre illustrateur préféré s’est posé sur le charmant Benjamin Courtault, sont trait vif, ses couleurs chatoyantes et ce je-ne-sais-quoi qui fait de son travail quelque chose d’assez remarquable.

Dans le Loir-et-Cher est né Benjamin Courtault, jeune artiste qui manie l’illustration à la perfection. Beaux-Arts de Quimper, sculpture à la Kunthochschule Berlin Weissensee, le caméléon trouve sa voie dans l’illustration à l’Universität der Künste de Berlin.

Diplômé en 2013, Benjamin Courtault retourne en terre française pour se nicher à la capitale. Il délivre désormais ses créations pour la presse nationale comme XXI, Citrus et pour la presse étrangère, notamment allemande pour Frankfürter Allgemeine Zeitung. Il travaille aussi pour la grande famille du livre et embellie par exemple la nouvelle de Stanislaw Lem « Professor A. Donda » publié à Suhrkamp Insel Verlag.

Mais ce qu’il préfère ce sont ses projets personnels qu’il pioche généralement dans la littérature. Revisiter L’Amour est aveugle de Boris Vian, Vendredi ou les limbes du Pacifique de Michel Tournier avec des dessins à l’encre ou encore Candide ou l’optimisme de Voltaire.

Des créations originales, complexes, où cinq couleurs suffisent à raconter toute une histoire. Des petites éditions qu’il crée du début à la fin pour une technique artisanale et unique. Inspiré par les fresques, tapisseries moyenâgeuses ou les gravures anciennes, Benjamin Courtault nous offre une multitude de détails qui nous plongent dans son univers bien particulier.

© Benjamin Courtault
© Benjamin Courtault
© Benjamin Courtault
© Benjamin Courtault
© Benjamin Courtault
© Benjamin Courtault
© Benjamin Courtault
© Benjamin Courtault
© Benjamin Courtault
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