Derrière ces pseudonymes durs en bouche se cachent deux diplômées du DMA gravure d’Estienne, bien accrochées par les techniques traditionnelles d’impression (sérigraphie, gravure et tout le tremblement). Elles aiment aussi les dauphins. Et elles ont participé au n°54. On les aime donc. Elles seront d’ailleurs exposées le 1.10 au Bar à Bulle, à Paris.
Editorial